Les 14,15 et 21,22 novembre 2024
À 19h30
l’Espace Culturel Bertin Poirée
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Réservation :
resa@tenri-paris.com ou 01 44 76 06 06
Tarifs : 18 € / 15 € Adhérent 9€
www.tenri-paris.com
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Réservation :
resa@tenri-paris.com ou 01 44 76 06 06
Tarifs : 18 € / 15 € Adhérent 9€
www.tenri-paris.com
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Réservation :
resa@tenri-paris.com ou 01 44 76 06 06
Tarifs : 18 € / 15 € Adhérent 9€
www.tenri-paris.com
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Réservation :
resa@tenri-paris.com ou 01 44 76 06 06
Tarifs : 15 € / 12 € Adhérent 7€
www.tenri-paris.com
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Réservation :
resa@tenri-paris.com ou 01 44 76 06 06
Tarifs : 15 € / 12 € Adhérent 7€
www.tenri-paris.com
Tarif : 15 € / Réduit 10 € / Adhérent 7 €
Réservation : resa@tenri-paris.com ou Tél :01 44 76 06 06
www.tenri-paris.com
Avec : Hiroko, Mié Tanaka, Kiho Isshiki, Seiko Kirkham, Mamiko Mitsunaga, Sanshiro, Madame Wasabi, Kazuki Teramoto, Jinta, Kokoro Hirata, Kumi Okamoto, Yoko Iizuka, Akané Takasugi, Sayori Okada
Mise en scène, adaptation, chorégraphie, Montage vidéo : Sayori Okada
Traduction, sous-titrage: Vanina Luciani
Assistante mise en scène : Hiroko Inoué
Son: Lika Kato
Lumière : Fabienne Breitman
Titre:Shizumi Rousei (Calligraphe)
Réalisation vidéo:Kié Kawagishi, Noriko Tamura, Seiichiro Okada, Hanyou Amemiya,Saya Yi, Sang-Sobi Homme
Cette histoire met en scène l’amour et la mort de Mme Ota, attirée par le fils de son amant décédé, car l’image de celui-ci l’obsédant… Souvenir inspiré de Mme Ota, belle et sensuelle comme la fée d’un bol à thé », que le fils du défunt, prénommé Kikuji, revit dans sa relation avec Fumiko, la propre fille de Mme Ota.
Au cœur du monde de la Voie du Thé, la peinture des relations humaines, tombées dans la vulgarité, se superpose à celle d’un univers à l’esthétique surréaliste, né de la sensation illusoire d’une identité symbolique entre un chef d’œuvre célèbre de bol à thé « Shino » et la chair de Mme Ota qui lui confère un parfum de sensualité.
A travers l’histoire de Yumiko, jeune fille androgyne, et le chef d’un groupe d’artistes de music-hall un peu voyous, appelée « La Troupe des cramoisis d’Asakusa», erre dans les rues d‘Asakusa pour se venger de l’homme qui a abandonné sa sœur se déroule la peinture de la condition des personnes qui vivent dans les bas-fonds d’Asakusa. Dans le cadre de la Grande dépression mondiale, et de la vague de difficultés économiques de l’époque Shôwa, avec en arrière plan le tremblement de terre du Kantô, au cœur d’une atmosphère inquiétante, Kawabata décrit avec lyrisme les mœurs, mêlant beauté et laideur, des clochards, mendiants, prostituées, souteneurs, danseurs, monstres de foire, spectacles érotico-grotesques, spectacles de l’absurde, etc. et les phénomènes de l’ancien temps et du nouveau.
C’est l’histoire d’un homme qui visite un pays où tombe la neige.Il observe les différents états des femmes qui vivent avec ferveur dans cette ville thermale, leurs oscillations, la pureté de chaque moment de leur existence éphémère. En projetant l’expression de la psychologie des émotions comme sur un miroir, rendu plus aigu par le nihilisme de l’homme.
L’histoire dépeint en extrayant l’essence de la beauté, les efforts vains, tristes et beaux que fait une femme qui vit un amour passionné.
Avec Mizué Mori (Ecole Konparu), Sayori Okada, Kié Kawagishi
Musique : Keikyu
Adaptaion : Mizué Mori , Sayori Okada
Mis en scène : Sayori Okada
Tarif : 10 € / Réduit 7 € / Adhérent MCJP 5 €
Réservation : Tél : 01 44 37 95 95 / www.mcjp.fr
Avec : Hiroko, Mié Tanaka, Miyuki Koshimizu, Kiho Isshiki,Seiko Kirkham, Mamiko Mitsunaga,Ayu Ikeguchi, Sanshiro, Madame Wasabi, Maiko Yoshida, Kazuki Teramoto, Leo Villemin, Hiromi Komorita, Jinta, Hiroko Alberson, Noriko Chassery, Kokoro Hirata, Sayori Okada
Mise en scène, adaptation, chorégraphie, Montage vidéo : Sayori Okada
Traduction, sous-titrage: Vanina Luciani
Assistante mise en scène : Hiroko Inoué
Son: Lika Kato
Lumière : Fabienne Breitman
Titre:Shizumi Rousei (Calligraphe)
Réalisation vidéo:Kié Kawagishi, Noriko Tamura, Seiichiro Okada, Hanyou Amemiya,Saya Yi, Sang-Sobi Homme
Cette histoire met en scène l’amour et la mort de Mme Ota, attirée par le fils de son amant décédé, car l’image de celui-ci l’obsédant… Souvenir inspiré de Mme Ota, belle et sensuelle comme la fée d’un bol à thé », que le fils du défunt, prénommé Kikuji, revit dans sa relation avec Fumiko, la propre fille de Mme Ota.
Au cœur du monde de la Voie du Thé, la peinture des relations humaines, tombées dans la vulgarité, se superpose à celle d’un univers à l’esthétique surréaliste, né de la sensation illusoire d’une identité symbolique entre un chef d’œuvre célèbre de bol à thé « Shino » et la chair de Mme Ota qui lui confère un parfum de sensualité.
A travers l’histoire de Yumiko, jeune fille androgyne, et le chef d’un groupe d’artistes de music-hall un peu voyous, appelée « La Troupe des cramoisis d’Asakusa», erre dans les rues d‘Asakusa pour se venger de l’homme qui a abandonné sa sœur se déroule la peinture de la condition des personnes qui vivent dans les bas-fonds d’Asakusa. Dans le cadre de la Grande dépression mondiale, et de la vague de difficultés économiques de l’époque Shôwa, avec en arrière plan le tremblement de terre du Kantô, au cœur d’une atmosphère inquiétante, Kawabata décrit avec lyrisme les mœurs, mêlant beauté et laideur, des clochards, mendiants, prostituées, souteneurs, danseurs, monstres de foire, spectacles érotico-grotesques, spectacles de l’absurde, etc. et les phénomènes de l’ancien temps et du nouveau.
C’est l’histoire d’un homme qui visite un pays où tombe la neige.Il observe les différents états des femmes qui vivent avec ferveur dans cette ville thermale, leurs oscillations, la pureté de chaque moment de leur existence éphémère. En projetant l’expression de la psychologie des émotions comme sur un miroir, rendu plus aigu par le nihilisme de l’homme.
L’histoire dépeint en extrayant l’essence de la beauté, les efforts vains, tristes et beaux que fait une femme qui vit un amour passionné.
“Mishima a entrepris la réécriture des nôs traditionnels célèbres. Plaçant ses personnages symboles d’une passion et d’un désir inassouvi dans l’espace atemporel du nô, il emmène le lecteur dans un entre-deux onirique oscillant entre rêve et réalité. La modernité des décors et des discours laissent deviner l’éternel questionnement sur la condition humaine, sur l’amour et la mort, qui depuis l’origine constitue l’essentiel du théâtre Nô.”
Réservation : 01 44 37 95 01 Tarifs : 10€ (plein), 7€ (réduit), 5€ (adhérent)
“5 contes modernes de Nô” 2018 -Théâtre de femmes F-J SERAPH
1mins
4mins
Avec
Hiroko, Mié Tanaka, Yuko Masuki, Miyuki Koshimizu, Satomi Ono,
Kié Kawagishi, Seiko Kirkham, Ayu Ikeguchi, Sanshiro,
Keigo Saito, Madame Wasabi, Sayori Okada
Voix off :Jun Hashizumé (Invité spécial)
Mise en scène,Chorégraphie,Création des masques,video:
Sayori Okada
Sous titrage, traduction : Vanina Luciani
Assistante mise en scène : Hiroko Inoué
Composition -Chanson de Yuya:Sanshiro Hashimoto
Création du collier de Yuya : Miyuki Koshimizu
Son: Lika Kato
Lumière : Margot Olliveaux
Costume : Minako Halberda, Aglaé Plaete, Séraph
Jitsuko Honda, une artiste peintre, a recueilli chez elle une belle jeune femme nommée Hanako, abandonnée par son amant Yoshio et qui sombre peu à peu dans la folie à force de l’attendre.Or, la romance à l’ancienne de Hanako fait l’objet d’un article dans le journal. Jitsuko amoureuse de la beauté de Hanako veut garder la jeune femme pour elle seule et craint que l’article ne soit lu par Yoshio et que les deux amants ne se retrouvent. Afin d’éloigner Hanako du monde, Jutsuko propose à Hanako de partir en voyage …
Une vente aux enchères de meubles anciens a lieu chez un antiquaire. Une armoire de style occidental gigantesque est à la vente. Il s’agit d’une armoire de grande qualité et tellement immense qu’on peut y mettre plus d’une centaine de costumes. Aux clients qui font monter les enchères, une danseuse appelée Kiyoko objecte que cette armoire ne vaut que 3000 yens …
Une nuit, dans un parc, un poète ivre rencontre une vieille clocharde en train de ramasser des mégots de cigarettes.Comme le poète déclare que les amants qui s’embrassent sur des bancs sont au sommet de la vie, la vieille clocharde lui répond: «Ils sont morts … c’est moi qui suis vivante».La vieille clocharde raconte qu’autrefois on l’appelait Komachi et que tous les hommes qui l’ont trouvée belle et lui ont avoué leur désir sont morts. Elle explique que tout homme qui lui dira son admiration sera sûr de mourir. Elle commence à raconter au poète, qui se moque d’elle, l’histoire du sous-lieutenant Fukakusa du quartier général qui lui rendait visite pour gagner son cœur, 80 ans auparavant, et évoque cette fameuse soirée à Rokumeikan…
La belle Yuya vit dans un magnifique appartement et est la maîtresse de Munemori, un important homme d’affaires. A la saison de fleurs de cerisiers au printemps, Munemori invite Yuya à aller admirer les cerisiers en fleurs car il veut que Yuya, qui est dans la fleur de l’âge, l’accompagne. Yuya refuse et demande à rentrer à Hokkaido soigner sa mère malade. Cependant Munemori refuse de la laisser partir …
Aoi, l’épouse du beau Hikaru Wakabayashi , est hospitalisée..Selon les infirmières, chaque nuit, une femme vêtue comme une grande dame rend visite à Aoi qui semble en proie à de grandes souffrances, Cependant, en fait, tous les soirs, ce qui faire souffrir Aoi est le spectre vivant de Yasuko Rokujo, une ancienne maîtresse de Hikaru rongée par la jalousie …
En incorporant des éléments de l’esthétique “Un Gra” (Abréviation de Underground) qui était la tendance phare de la scène théâtrale japonaise du milieu des années 1960 aux années 1970, – formes d’expression scénique expérimentales, éléments populaires et spectaculaires que le théâtre moderne qualifie de « vulgaires », je souhaite créer une atmosphère scénique particulière qui mélange les jeux sur la narration, de multiples espaces, les rêves et les passions pour représenter le “Yûgen” du théâtre Nô.
Cette pièce est composée de 6 petites pièces qui mêlent masques, danses, chansons, images et projections vidéo.
VENDREDI 2 JUIN · 20H SAMEDI 3 JUIN · 15H
101 Bis Quai Branly 75015 Paris
TARIF UNIQUE 5 € / Réservation : 01 44 37 95 01
Dans les années 1930, le quotidien de quatre sœurs d’une vieille famille de riches commerçants d’Osaka. Les deux aînées, qui sont mariées, s’inquiètent pour les deux plus jeunes. En effet, la troisième peine à trouver un prétendant convenable et la dernière accumule les aventures amoureuses. “Quatre sœurs » révèle un monde au bord de l’effondrement, juste avant la seconde guerre mondiale.
Cette pièce est l’adaptation d’un roman de Junichirô Tanizaki (1886-1965) par le Théâtre de Femmes Franco-Japonais Séraph. Depuis 25 ans, cette compagnie explore les méandres de la sensibilité féminine et réfléchit à la condition des femmes.
Avec : Mié Tanaka, Hiroko, Satomi Ono, Seiko Kirkham, Kié Kawagishi, Ayu Ikeguchi, Saki Shoji, Sayori Okada
Chant : Mari Kazué,
Mise en scène, Chorégraphie, Scénario : Sayori Okada
Chorégraphie (la partie danse traditionnelle) : Yukiko Nagashima
Sous titrage, Aide de traduction : Vanina Luciani
Décor en papier et son: Lika Kato
Lumière : Margot Olliveaux
Bruitage : Jun Anazawa
Costume : Minako Halberda, Théâtre de femmes Franco-Japonais Séraph
Figurants :Yasuhiro Hisada, Sanshiro Hashimoto
Théâtre de Femmes Franco-Japonais Séraph
Présente
Théâtre
étoile, Fleur et Cœur
1ère partie
Fleur
d’après “Ami, L’Enfant des étoiles”
Auteur : Enrique Barrios Traduction : Shoji Ishihara
2ème partie
Cœur
d’après »Si le monde était un village de 100 personnes »
Auteur : K.Leipold Traduction : Hirimo Nakano
« Car les adultes, pour la plupart, croient plus facilement à l’horreur qu’aux miracles, c’est pourquoi une poignée seulement pourra accorder du crédit à l’histoire qui va suivre. C’est une fantaisie, un conte de fées pour les enfants.
Oui, un simple conte de fées! »
Enrique Barrios
Avec
Mié Tanaka, Hiroko, Seiko Kirkham, Miyuki Koshimizu,
Yukiko Ngashima, Ayu Ikeguchi, Sayori Okada
Mise en scène, Secnario : Sayori Okada,
Assistante mise en scène : Hiroko Inoué,
Traduction : Vanina Luciani
Son : Lika Kato. Lumière : Margot Olliveaux
« L’Univers recèle l’énergie de la création originelle, l’Infini,Un amour pur et illimité » Dans l’atmosphère poétique de cette pièce, méditons sur l’amour.Et sur ce message venu d’un être du fin fond de l’Univers.
» La Vie possède une signification profonde au-delà de ce que notre pensée peut concevoir,Le tout est de savoir comment incarner la puissance de l’Amour, du dévouement à l’égard des Autres, de trouver un moyen différent de communiquer afin d’accéder à l’intelligence de ces significations subtiles »
La Compagnie Séraph présente une pièce inspirée de l’ouvrage d’Enrique BARRIOS, « AMI, l’enfant des étoiles », bestseller mondial traduit dans onze langues. Ce petit roman présente dans un langage simple une philosophie prônant l’amour comme seule loi universelle fondamentale.Il nous conte l’histoire d’une rencontre entre les créatures terrestres et un être venu d’une autre planète. Comparée aux autres civilisations de l’Univers, le peuple de la Terre est encore barbare et émet une fréquence d’amour très basse à cause de la pollution, des guerres, des armes nucléaires, etc… Les créatures de la Terre prennent alors conscience que leur civilisation possède un fort potentiel d’auto-destruction et est parvenue à une situation extrêmement dangereuse pour sa survie. Il n’est plus qu’une seule évolution possible : se rapprocher de l’Amour. Aucune frontière ne devrait nous séparer, aucun Égo ne devrait nous isoler les uns des autres.
La Vérité existe et se trouve dans la simplicité et l’innocence.
Voici donc un message pour réchauffer les cœurs. Il prouve aux petites créatures terrestres éphémères que l’Amour rend possible la synchronisation de tous les êtres vivants avec l’immensité de l’Univers.